Je lis en ce moment "Droit public", un ouvrage destiné aux candidat(e)s des concours administratifs. J'ai débuté cette lecture pour en apprendre plus sur notre administration, bien que je ne prépare aucun concours. Mais hier soir j'ai tout de même eu un choc à la lecture de ce passage : "Le CSA a pour mission générale de garantir la liberté de communication. La loi lui accorde à la fois des pouvoirs de nomination (c'est le CSA qui choisit et nomme le président de France Télévision et non plus le Premier ministre) de décision (il appartient au CSA d'attribuer ou de retirer les fréquences aux radios), de recommandation (recommandations aux partis politiques pendant les campagnes électorales), de contrôle et de sanction (amendes à TF1 ou France 3 pour non respect des quotas d'oeuvres françaises, etc)." J'avoue avoir lu ce passage deux fois de suite, la seconde fois avec cette nostalgie empreinte de stupeur que l'on peut trouver en feuilletant un vieux livre d'histoire. Cette "actualité" du CSA appartient désormais au passé, tout comme le Chevalier Bayard ou l'AOF...
Alter Ego
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